C’est en 1972 que Lacan a emprunté à Guilbaud ce nœud borroméen. Il a trouvé qu’il lui allait « comme bague au doigt » pour y démontrer ce qu’il avait déjà mis en évidence depuis fort longtemps, les trois registres du symbolique, de l’imaginaire et du réel (1).
Quelques caractères généraux des obsessions
Les élaborations théoriques de Freud sur la structure de la névrose obsessionnelle en 1910, au temps de l’Homme aux rats.
Nous abordons donc la partie des « Considérations théoriques » portant sur « quelques caractères généraux des obsessions ». On passe donc de la clinique, celle de la description des symptômes d’une névrose obsessionnelle singulière, celle d’Ernst Lanzer, à un travail d’élaboration sur les mécanismes propres à cette névrose, sur sa structure.
Comment devenir une femme aimée ?
Une relecture de Dora avec l’aide du schéma optique Je vais tenter une relecture d’ » Intervention sur le transfert » avec le schéma optique pour démontrer comment Dora, à partir de ses identifications viriles, aurait pu réussir, avec l’aide de Freud, du seul fait de son interprétation, a réaliser une identification
Notes sur l’objet a et l’objet partiel
Questions à brûle-pourpoint sur la passe
Quand les termes deviennent trop usés à force d’avoir été répétés et qu’ils se vident de leur sens, que pouvons nous faire de chacun d’eux – la « passe », le « désêtre », l’analyste « comme objet a », la « traversée du fantasme » et la liste ne s’arrête pas là – pour leur rendre la fraîcheur d’une énonciation ? Si ce qui caractérise le dogmatisme c’est bien le fait que les énonciations d’un analyste sont devenues pour d’autres de simples énoncés, corpus théorique, savoir constitué, savoir asservi, maîtrisé qui donne l’illusion de pouvoir être enseigné, comment y échapper ?
Les trois personnalités d’Ernst (dit l’Homme aux rats)
Il est quand même curieux que Freud achève ce grand texte d’étude sur la névrose obsessionnelle dans les cinq psychanalyses, sur cette évocation des trois personnalités d’Ernst étant donné la difficulté de définir ce terme.
Le transfert comme acte de parole
Note sur le transfert symbolique, comme acte de parole, opposé au transfert imaginaire, défini comme amour de transfert.
L’intervention au congrès de Rome de Lacan date de septembre 1953. Il en existe deux versions, une version parlée et une version écrite.
« Qu’est ce qu’une obsession ? » « un sacrilège verbal »
Nous arrivons à la fin de la séance du 18 juin 1958 ( séminaire des Formations de l’inconscient ) Lacan indique ce qu’est une obsession, « c’est une destruction par le verbe et par le signifiant », par une formule magique.
Le désir de l’hystérique, « d x », et le désir de l’obsessionnel, « d° »
Dans cette séance du 18 juin 1958 ( Séminaire des Formations de l’inconscient), sur le graphe du désir, Lacan précise la fonction de deux lettres, d’une part celle du signifiant de grand A barré, d’autre part celui du message, qu’il nomme signifié de grand A et où vient s’inscrire le symptôme en tant qu’il est une signification.
A propos du titre de la thèse de Lacan » De la psychose paranoïaque dans ses rapports avec la personnalité »
En marge de ce que nous travaillons en ce moment, la névrose obsessionnelle d’Ernst Lanzer, dit l’Homme aux rats, à propos des trois personnalités de cet analysant, et des questions analytiques que pose une définition de ce qu’est la personnalité, je vous rappelle un passage de l’une des premières séances du Sinthome ( séance du 16 décembre 1975).