Lacan

Les  » Ecrits inspirés  » de Joyce

joyceDans le Sinthome, séance du 10 février 1976, Lacan pose la question de savoir si Joyce était fou. Or il aborde cette question par deux biais, le premier étant de savoir si Joyce se prenait où non pour un rédempteur, autrement dit un sauveur, sinon un sauveur de l’humanité au moins un sauveur de la littérature. Le second biais étant celui de son écriture, en référence aux  » écrits inspirés  » de la psychose.

Au cœur de l’expérience analytique, le mythe d’Œdipe

Au cœur de l’expérience analytique, se trouve le mythe d’Œdipe, mythe qu’il convient de reprendre, de compléter à partir de l’expérience que nous en avons. Ce texte « Le mythe individuel du névrosé » date de 1953. Il sera intéressant de le mettre en correspondance avec l’un des séminaires plus tardifs, celui d’un discours qui ne serait pas du semblant où il s’attaque résolument à ces deux mythes de l’Œdipe et de Totem et tabou, pour nous proposer d’y substituer une logique de l’écrit.

Le graphe du désir de l’hystérique

Une lecture de la séance du 14 mai 1958 des « Formations de l’inconscient »

Lacan a décrit le graphe à deux étages, le graphe dit complet, dans le paragraphe précédent et maintenant il reprend le graphe du désir de l’hystérique avant de pouvoir aborder le graphe de l’obsessionnel. Il prend appui pour le construire sur l’un des rêves rapporté par Freud dans L’interprétation des rêves, le rêve dit des bougies d’Apollon, puis reprend une fois de plus, l’histoire clinique de Dora.

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